Catégories : Sodom Libertins Trio libertin
il y a 5 ans
"Blandine courait, courait vers l’église, elle avait fauté, péché, oh mon Dieu , ces mots jouaient la sarabande dans sa tête. À peine 18 ans, et voilà que les conseils de Monsieur le curé étaient passés à la trappe. Elle avait couché comme on disait.
Le curé la regardait s’approcher, du porche de son église. Elle courait, tout son corps de jeune femme en mouvement. Jambes galbées sous sa petite jupe qui laissait voir ses genoux ronds, hanches larges, mais bien proportionnées au-dessus dune paire de fesses qui ne pouvaient qu’attirer le regard ou les mains. Plus haut la poitrine, lourde, mais ferme se balançait au rythme de la course Le visage de Blandine reflétait dans son ovale encadré de cheveux roux, à la fois l’effort, la crainte, la perplexité mais aussi le caractère sensuel de la jeune femme : lèvres charnues, bouche ouverte, yeux brillants et expressifs, perle de sueur aux tempes et au front.
Elle déboula dans la nef, sans même voir l’homme d’église qui s’était reculé au moment de son arrivée, puis, s’arrêtant brusquement, elle se tourna vers lui, et dit, le souffle court :
- Je veux me confesser, mon père, tout de suite, j’ai péché, j’ai fauté .
Ce dernier, encore sous le coup de la vision qu’il venait d’avoir, de cette femme, qui, dans sa course, dégageait une telle sensualité, sensualité qui avait, le temps dune minute, déclenché une flambée de désir qu’il avait pourtant su si bien mettre sous le boisseau depuis ses années de séminaire, restait coi.
- Mon père, il faut me confesser, vite. , dit Blandine en haletant.
Le curé, dans la cinquantaine épanouie, n’entendit que fesser ce fut comme un déclic, comme si un barrage de conventions, d’interdits, de pudeur, de faux-semblants, accumulés depuis des décennies était emporté par le désir. Si le terme confesser atteignit quand même le cerveau du curé, le diable lui-même venait aussi d’y entrer et criant : fesser , ajoutant, diabolique, fesses, toucher, con, cul, prendre, femme, femelle, chaude . Toute la horde des suppôts de Satan était là. La plastique de Blandine ne pouvait passer inaperçue, même au curé, pour l’avoir souvent vue se trémousser au bal de la kermesse. La confesser, pourquoi pas ?
-
Ma fille, venez, il nous faut parler .
-
Mon père, vite, il me faut l’absolution, je suis une pécheresse .
-
Bon, bon, calme-toi Blandine .
Il la prit par la main, et la conduisit vers un confessionnal. Mais au lieu de se placer de chaque côté de la séparation grillagée, il s’assit tant bien que mal auprès de Blandine sur le banc d’un des côtés. Vu l’étroitesse de l’endroit, Blandine fut coincée au fond de l’espace, et le curé se retrouva serré contre ses cuisses, et même le corps de la jouvencelle. Le voilà qui se mettait à penser avec le vocabulaire de l’ancien temps. Non c’était tout simplement une jeune femelle, chaude, palpitante de sa course, dont les fragrances de transpiration, de chaleur et de femme se concentraient dans cet espace quasi clos. De quoi vous exciter le plus sage des hommes.
D’un geste apaisant, il lui prit les mains, et attendit La respiration encore saccadée , la poitrine qui remontait à chaque inspiration, Blandine, peu à peu, se calma.
- Raconte-moi Blandine, ce qui s’est produit.
Oh, mon père , commença-t-elle tout en serrant son corps contre l’homme, car vraiment le banc était petit, le Maxime ma fait faire des choses, des choses
-
Il faut me dire, Blandine, te confesser, me montrer, pour que tu aies l’absolution . Oui, je sais C’était dans le fenil, il m’a touché les seins, passant ses mains sous ma blouse, et descendant mon soutien-gorge.
-
Montre-moi dit le curé.
Blandine voulut montrer avec ses mains, mais le curé, qui les avaient emprisonnées dans les siennes, suivit le mouvement. Blandine sentit qu’une de ces mains d’homme redevenait rapidement autonome. Elle se réfugia dans la chemise de la jeune femme, enserrant l’un des seins. Sans aucune autre forme de procès, la main descendit le bonnet et s’attarda sur le téton dressé, par la course ou par le désir. Un petit cri rauque, un gémissement et Blandine se sentit toute chose. La bouche du curé vint se coller à l’oreille de la jeune femme.
-
Et alors c’était bon ?
-
Oui ,
-
Comme maintenant ?
-
Oh oui
L’homme, le nez collé dans les cheveux roux de la jeune femme sentit monter en lui une sève oubliée depuis des lustres.
-
Et ensuite ?
-
Oh mon père, il m’a dit des grossièretés .
-
Lesquelles ma fille ? il faut que Dieu entende pour que vous soyez pardonnée : il t’a dit que tu étais une petite allumeuse, une ... qui allait recevoir un beau gros pieu dans la moniche, une femelle en chaleur qui attirait tous les mâles en rut ?
Durant les quelques secondes où il prononçait ces mots, le curé avait glissé lune de ses mains sous la courte jupe de Blandine, lui palpant sans vergogne le haut de la cuisse, passant un doigt sous l’élastique de la culotte. L’aspect douillet de l’endroit où il s’était aventuré ne fit qu’accentuer la tension dans son slip. Avec son autre main, il avait amené celle de la jeune fille au niveau de sa braguette.
- Oh M. le curé, comment pouvez-vous deviner ?? il a bien dit tout cela, vous vous y connaissez donc ? Oh mon Dieu, il me faut l’absolution
Le curé n’était plus que mâle désir, v i o l ent, irrépressible L’exiguïté de l’espace, la touffeur de l’atmosphère, les parfums puissants et épicés qui s’échappaient du corps sensuel de Blandine firent basculer la volonté du curé. Il se moquait bien maintenant de ce qu’avait pu faire Maxime à Blandine. C’était à lui de passer à l’acte Depuis le petit séminaire, il rêvait de femmes plus lubriques les unes que les autres, et, depuis maintenant deux ans, que cette fille aux allures très féminines venait à la messe, il avait des idées diaboliques.
Il fallait faire vite, car les paroissiens n’allaient pas tarder à arriver pour les vêpres. Pardonnez-moi mon Dieu , eut-il encore le temps de penser avant que le Diable vienne prendre le relais.
Le curé prit alors Blandine par la taille, la main toujours sous la jupe et l’autre agrippée au sein, repoussant de son derrière la porte du confessionnal, il fit pivoter et positionna la jeune fille le buste sur le dossier de la stalle la plus proche, la f o r ç a nt à s’agenouiller sur le banc.
D’un geste rapide, il releva la jupe jusqu’à la taille, dévoilant un cul d’une blancheur opaline, sur lequel tranchait un tanga gris perle. D’un rapide coup d’oeil, il apprécia le charnu de la chose mise à sa disposition, regrettant de ne pas avoir le temps d’enfouir son visage, sa bouche et son nez entre les deux globes, écartant le sous-vêtement, plongeant deux doigts rapidement dans le trou juteux qui s’offrait à lui entre deux lèvres visqueuses et un liséré de poils roux tout trempés. De son autre main, il défit la ceinture de son pantalon, baissa son slip et dégagea un membre noueux, assez court mais large.
- Oh mon Dieu, M. le curé eut le temps de dire Blandine avant de laisser échapper un long soupir de contentement lorsque ce dernier présenta au bord de sa grotte sa queue bandée à m o r t surmontée d’un gland d’où s’échappaient déjà les premières gouttes de désir.
D’une seule poussée, le curé s’installa dans le fourreau juteux, chaud et humide, déclenchant une longue mélopée ouiiiiiiiiiiiiiii/ahhhhhhhhhh/ouiiiiiii/dieuuuuuuuuu-bonnnnnnn/hummmmmm/jéssssuuuusmariiiiiejoseph
Sous l’oeil impassible (?) du Christ et de la Vierge Marie, qui trônaient dans labsidiole, M. le curé se mit à ramoner le conduit offert à lui, tout en frappant alternativement du plat de la main sur chacune des fesses de Blandine. Le feulement qu’elle avait commencé après la pénétration devint cri, et l’écho des vieilles pierres semblait doubler le plaisir quelle prenait à cette étreinte sauvage. Le curé, qui n’avait pas complètement perdu ses esprits, scandait sa fessée de la sentence suivante :
- C’est la punition pour avoir péché, Blandine, punition, fessée, punition, fessée , paroles auxquelles répondaient les oui mon Père, j’ai tant fauté, c’est ma faute, ma très grande faute, ouiiiii, encore, encore, la punition, bonnnnn, hummmmmm de Blandine qui se mélangeaient à ses cris de jouissance.
L’homme d’église accéléra, sentant que l’heure avançait, et dans un dernier geste, ressortit sa ... du vagin bouillant, la frotta au bord du petit trou qui lui faisait de l’oeil, laissant échapper de longs jets de sperme dans la raie du cul et sur les deux fesses, devenues rouges après les claques administrées au cours de cet accouplement.
Au moment où le dernier jet s’échappait de son membre encore bien dur, il entendit la porte de l’église grincer, et aperçut en contre-jour la silhouette élancée de la jeune épouse du maire (sa seconde femme), une trentenaire aux formes généreuses, et à l’allure un peu réservée Elle s’arrêta sur le pas du porche, ne perdant pas une miette du spectacle qui s’offrait à elle, éclairé qu’il était par le vitrail de labsidiole sud"
"Pétrir les beaux appas de la femme du maire donna encore plus de vigueur au curé. Il imaginait la suite, ayant d’ailleurs oublié depuis bien longtemps la messe qu’il devait dire juste après avoir con-fesser Blandine.
Les deux obus qu’il avait entre les mains, la bouche et la langue qui s’activaient avec ardeur autour et le long de sa hampe l’avaient fait sortir de la réalité de son sacerdoce. Il amena une des mains manucurées de Marie-Luce sous ses testicules, et lui montra le mouvement à faire pour que son plaisir augmente encore. La docilité de la bourgeoise faisait merveille. Elle lui palpa, lui caressa les couilles, s’aventurant à lui titiller l’anus. L’homme d’église était aux anges. Cette dernière caresse lui donna une idée :
- Blandine, dit-il, il faut aussi, puisque tes mains sont libres, t’occuper du dernier orifice de madame Duchemin. Ce n’est pas le tout de lui brouter le minou, elle a l’air d’apprécier, mais un petit doigt ou deux dans le derrière devrait l’amener à encore plus de plaisir.
Blandine, sortant son visage trempé du désir de la femme du maire de l’entrejambe qu’elle léchait avidement depuis quelques minutes, adressa un regard coquin accompagné d’un clin d’oeil au curé et approcha son majeur de la rondelle de madame Duchemin. Cette petite coquine prit rapidement la mesure de ce qu’attendait la brune dame, titilla l’anneau serré de son doigt et d’un mouvement bien senti enfila le majeur de sa main droite jusqu’à la dernière phalange dans le cul de Marie-Luce tout en replongeant son visage dans les effluves épicés et la marée que le sexe échauffé laissa exhaler. Le double mouvement provoqua un orgasme v i o l ent qui fit se cambrer madame Duchemin, la fit crier, bien que sa bouche fut occupée par l’épieu du curé. Après le cri, elle laissa échapper une longue plainte remplie de contentement, qui se termina comme un ronronnement de chatte que l’on caresse
- Ah Blandine, je crois que tu fais honneur à mon catéchisme
Après cet orgasme, Marie-Luce avait cessé de sucer le curé, gardant en bouche le sexe de l’homme d’église, mais sans faire de mouvement, les yeux un peu dans le vague. Ce dernier, bien vigoureux, puisqu’il avait déchargé il y avait quelques dizaines de minutes dans le con de Blandine, se sentait d’attaque pour d’autres jeux.
- Blandine, tout ceci doit te laisser sur ta faim. Il faudrait que tu aies ton petit plaisir à toi aussi. On va demander à madame Duchemin de nous aider dans ce dessein. N’est-ce-pas Marie-Luce que tu vas aider Blandine à connaître l’extase, et à défaut du Ciel, le septième serait déjà pas mal ? Vous, une femme expérimentée, vous ne pouvez refuser, par bonté chrétienne, de montrer vos talents à une jeune novice. Elle ne va quand même pas finir nonne notre Blandine !!
Tout en disant cela, Blandine s’était relevée de l’entrecuisse bouillant où elle venait de passer plusieurs minutes, et tournant son visage trempé de la mouille, elle fit un grand sourire à monsieur le curé, prouvant son intérêt pour la proposition. Le prêtre en profita pour se retirer de la bouche de Marie-Luce, et pointant un sexe toujours aussi bandé, il dit :
- Blandine tu vas t’allonger et madame Duchemin va te manger ton joli abricot bien mûr et certainement tout juteux.
Marie-Luce eut l’air de sortir dune longue H y p n o s e :
- Mais je ne veux pas, je ne suis pas une gouine, je ne vais pas lécher la moniche de cette boniche !! dit-elle en criant.
Une grande gifle atterrit sur la joue de madame Duchemin.
- Mais c’est que la grenouille de bénitier, qui est là, regimbe. Ah ! mais, quel manque de charité chez vous Marie-Luce, moi qui vous confesse, qui suis votre directeur de conscience. Vous allez manger la cramouille de Blandine, qui ne demande qu’à connaître la félicité, et plus vite que cela. Le seigneur Jésus a partagé le pain et le vin, et vous, vile pécheresse, vous ne voudriez pas partager le plaisir juteux dune jeune moule toute ouverte. L’enfer vous guette, ma fille, à refuser de faire preuve d’un peu de piété.
La femme du maire, la joue rouge, retourna à son état second. Le curé savait y faire
Le curé attrapa Marie-Luce par le bout d’un sein, tira bien fort, obligeant celle-ci à se lever du lit, et Blandine s’y allongea, troussant sa jupe, laissant voir le petit tanga gris qui avait tant plu au curé lorsqu’il lavait honorée , dernier rempart qu’elle s’empressa de retirer, excitée qu’elle était depuis son entrée dans l’église, il y avait maintenant presque une heure.
- Allez, Marie-Luce, mettez-vous à genoux devant ce somptueux sexe de rousse, il doit être chaud-bouillant, bien juteux d’autant que tout à l’heure, j’y ai laissé pas mal de moi-même, dit le curé en s’esclaffant.
La femme du maire s’avança, se pencha vers le ventre de Blandine, s’agenouilla sur le lit, releva son cul blanc.
Le curé eut comme un éblouissement.
Si le postérieur de Blandine lui avait paru très beau, celui de la femme du maire dépassait tout ce qu’il avait pu imaginer dans ses rêves les plus chauds. Comment qualifier cet ensemble, composé de deux fesses blanches, fermes, lisses comme celles du petit Jésus, séparées par un sillon ombreux, parsemé de poils sombres, ces deux lèvres encore humides du traitement infligé par Blandine, moule trempée, poils collés, obscène mais aussi tellement bandant ?
Mais ce qui fascina au plus haut point le lubrique curé fut le cratère sombre en haut de la raie. Presque noir, il faisait contraste avec la pâleur de la peau des fesses. Il avait l’air de le regarder comme l’oeil de Dieu regarde Caïn après le meurtre d’Abel. Toutefois, paradoxalement, il n’était ni réprobateur, ni vengeur, mais tout le contraire. Il était attirant, hypnotisant, aimant, semblant appeler le curé à venir s’y blottir.
Pendant que le curé était au prise avec l’oeil de bronze de Marie-Luce, cette dernière, malgré sa réprobation vite réprimée, avait entrepris de lécher la foufoune odorante de la jeune rousse. Blandine trouvait le traitement des plus agréables, n’ayant jamais eu l’occasion de connaître de cunnilingus. Le Maxime l’avait prise comme un soudard, et le prêtre, s’il avait eu quelques gestes un peu plus humains n’avait pas eu le temps d’octroyer à la jouvencelle ce type de caresse. Blandine s’aperçut rapidement que c’était bien mieux que quand elle se caressait son petit bouton et qu’elle plongeait son doigt sans son intimité.
Malgré sa totale inexpérience, madame Duchemin, instinctivement, savait y faire. Sa langue passait et repassait entre cul, trou et clitoris, insistait sur ce dernier, puis repartait entre les lèvres, la langue goûtant un mélange de cyprine et de sperme laissé là par le curé, et s’enhardissant la jeune femme brune commença à toucher du doigt ce cul et se sexe offert. D’autant que Blandine, bien contente de ce qui se passait avait relevé ses jambes, les tenant par les mains sous les genoux et offrait à la lécheuse l’ensemble de son intimité.
Le curé de l’oeil, n’en perdait pas une miette, mais de l'autre regardait il de bronze qui lui en faisait de l’oeil. Sodomite pour sodomite, il fallait qu’il essaie. Ce n’était qu’à demi pécher, puisque ce serait, non pas avec un homme, mais avec une femme. Dieu pardonnerait sûrement cette entorse
Sur la table, traînait la petite bouteille remplie des huiles saintes. Elle n’avait pu rejoindre l’autel pour la messe, puisque messe il n’y avait pas eu, et pour cause !!
Le curé, empoigna la burette, ouvrit le petit bouchon et en versa une rasade sur le trou du cul de madame Duchemin. Une partie s’écoula dans la raie de fesses, mais l’autre, s’infiltra dans l’orifice, puisque le curé avait f o r c é la rondelle de ce divin cul avec l’index et le majeur de son autre main.
Après deux ou trois allers-retours avec ses doigts dans le fondement de Marie-Luce, le curé présenta à l’entrée de ce cratère son braquemart toujours aussi dur. Sentant ce qui allait se passer cette dernière voulut se reculer, pour échapper à cette intrusion qu’elle n’avait jamais encore connue, mais ne réussit qu’à s’embrocher elle-même sur le pieu ecclésiastique qui lui était offert, et de plus sa tête fut bloquée par Blandine qui ne voulait sous aucun prétexte la voir cesser ses va-et-vient buccaux sur son sexe en feu.
Le curé, enfin sodomite pour de bon, prenant à pleines mains les deux fesses rebondies, poussa son avantage, enfila tout son membre dans le cul de la belle brune, ressentant l’étroitesse du passage et se disant, in petto, que le maire, trop rustre, n’avait jamais dû passer par là !!
Les voix du seigneur restaient impénétrables, surtout pour les imbéciles !!
Les deux femelles atteignirent rapidement l’orgasme, Blandine le ponctuant d’un long ululement de jouissance, Marie-Luce, d’un mon Dieu, que c’est bon , de bon aloi. Le curé, bien au chaud, et à l’étroit, continua quelques instants daller et venir avant de lâcher sa juteuse contribution au fond des entrailles de la femme du maire. Dans un geste instinctif il se signa !!
La cure n’était qu’odeur de fornication, le lit champ de bataille, la messe non dite, et Jésus, du haut de sa croix, gardait les yeux clos
En haut de la seconde colonne, à gauche de la nef, le chapiteau roman était orné de la sculpture d’un diable ricanant"
Hervé
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Franchement perverse cette histoire, mais oh combien amusante. Merci beaucoup du partage. |
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